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Un album qui donne la parole aux prisonniers de guerre allemands antinazis, détenus aux Etats-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale...

Couverture de la bande dessinée Au Ritz des Fritz de nathalie Bodin

Danwarth Pabel est un prisonnier de guerre allemand capturé lors de l’offensive alliée en Normandie et transféré dans un des multiples camps de prisonniers construits sur le sol américain.
Là, son sort est régi par la Convention de Genève de 1929 qui stipule qu’il est soumis aux « règlements en vigueur dans [son] armée »... Ce qui ne l’arrange nullement car Pabel a toujours été résolument antinazi.
Et comme les Américains laissent les mains libres aux SS pour régenter le camp, la tyrannie du troisième Reich a vite fait de le rattraper et la vie de Pabel devient tout sauf un long fleuve tranquille…


 


80 pages - 19.0 x 26,5 cm - Noir et blanc broché ou numérique

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bande dessinée Bodin Au Ritz des Fritz
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La presse en parle ...
 

Un conte sur le courage...

Pour prouver qu'on est un brave, on est prêt à tout dans ce petit village du Japon... Prêt à relever des défis... jusqu'à mettre sa vie en danger ! Alors, quand Ourachima refuse de prendre des risques inutiles, il est accusé de lâcheté ! Mais, il s'en moque, il a sa propre idée du courage. C'est ce que les braves ne vont pas tarder à découvrir !




 


30 pages - 22,5 x 29,5 cm - broché couleur

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ourachima le brave - BODIN
BD Ourachima le brave de Nathalie Bodin
Ourachima le brave bande dessinée

 Les lecteurs en parlent ...
 

  • Merveilleux conte enfantin sur la "bravitude" dans le Japon de l'ère médiévale. le dessin aux couleurs pastel m'a fait penser à des tableaux de Monet tant c'est magnifique !Et là, je n'ai pas à me plaindre sur la parfaite lisibilité du message quelque peu moralisateur de l'auteur Nathalie Bodin venue du monde de l'illustration pour petits. J'applaudis à deux mains son excellent travail graphique ainsi que pour la simplicité de l'histoire, loin d'être naïve. L'idée sous-entendue peut également nous concerner nous les adultes dans la vie de tous les jours sur par exemple les véritables amis, le fait de dire "non", les drogues, le fait d'affronter ses peurs etc... J'ai littéralement adoré cette réplique de ce jeune garçon Ourachima qui rêve de devenir samouraï mais qui refuse de braver tous les dangers pour s'intégrer dans une bande : « Des amis qui te demandent de risquer ta vie ne sont pas de vrais amis ! ». Placée dans son contexte, cette réplique qui vous paraît anodine prend tout son éclat mais je ne souhaite pas ici tout dévoiler. (Erik) Babelio
  • Joli conte, intelligent et bien mené. J'avoue avoir été un peu déstabilisé par ce décor en principe japonais mais dont les paysages, personnages et certains noms me donnaient davantage l'impression d'être originaires de Mongolie que de l'archipel nippon. De même, j'ai mis un peu de temps à cerner le thème précis de cette fable. Une histoire d'amitié, d'enfants un peu différents et rejetés par le groupe dominant, de rêve engendré chez la sœur des héros par une fleur spéciale ? Les premières pages partent dans plusieurs directions qui m'ont un peu perdu. Mais j'ai fini par bien retrouver mes marques et apprécier le scénario. Tout se tient et arrive à une conclusion et une morale pleine de bon sens et de sagesse. Et comme le dessin est tout à fait sympathique, voilà une bonne BD jeunesse. (Ro) BDtheque

  • Par l'illustartrice de "Gus le menteur", entre le conte et la BD, rêve et réalité ponctuée par de très belles illustrations et se terminant par une morale fondamentale. (gbevot) BdParadisio

  • Une BD pour les enfants avec une réflexion sur les valeurs morales comme la bravoure, le courage, l’amitié et les dangers d’appartenance à une “bande” ! Une histoire simple avec des mots simples, des dessins naïfs aux couleurs pastel. Les personnages sont croqués à la manière d’un enfant : leurs membres sont disproportionnés, leurs visages expressifs et caricaturaux… Avec le Japon pour cadre… De quoi plaire aux très jeunes lecteurs ! (Martine Furnion) Asiexpo, Le club des cultures asiatiques.

  • Ce premier tome de Nathalie Bodin est très réussi. Il contient non seulement un message d'amitié et de courage, mais il nous fait aussi voyager à travers le monde médiéval du Japon avec poésie et grâce. En témoignent ses dessins, la simplicité et la luminosité de ses couleurs et l'onirisme qui se dégage de cet album. A partir de 7 ans. Coup de coeur 2004. (Médiathèque Lucien Herr - Ville de St Jacques de la Lande).

  • Un conte qui témoigne immédiatement du passé d’illustratrice de l’auteur. Les images sont peintes, avec des couleurs lumineuses, et le découpage laisse la place aux jolies scènes de nature. Le scénario souffre cependant d’une certaine candeur teintée de manichéisme qui rappelle un peu trop les livres pour plus petits. Si l’idée est belle, elle méritait d’être développée avec un peu plus de subtilité. Mais l’ensemble est tellement original qu’on pardonne vite ce péché de jeunesse. Pour enfants à partir de quatre ans. (Patrick Albray) ActuaBD

  • Dessin naïf et ton pastel en couleur directe, le travail de Nathalie Bodin est d'une grande douceur. Ce qui ne veut pas dire d'une grande mièvrerie, bien au contraire : les épreuves imposées par le stupide Chokeï en sont de bien réelles, la souffrance éprouvée par Satsuki du fait qu'elle est rejetée des autres est loin d'être imaginaire, et l'acte de bravoure d'Ourachima sauvant la jeune fille sans chercher à s'en vanter après, un grand souffle d'air frais et d'optimisme. Mais le ton est doux, c'est à dire que l'auteure nous laisse le choix d'entrer ou non dans l'histoire, de choisir notre degré d'implication dans cette tranche de vie apparemment anodine qui recèle des émotions très fortes. seul un dessin lisse et doux, relativement impénétrable permet ça : à contrario, un trait acéré et réaliste servi par des couleurs franches et tranchées ne permet pas du tout cette démarche volontaire du lecteur, il s'impose à lui et l'oblige à intégrer toute la force contenue dans le dessin. Ici, pas d'obligation, juste une petite ritournelle graphique, qui semble nous inviter à tourner la page suivante, et encore la suivante, et encore et encore... jusqu'à la fin de l'album, que l'on referme avec la sensation d'avoir grandi, d'avoir un peu mieux compris les sentiments qui animent les enfants que nous fûmes et qui vivent encore en chacun de nous.(...) Merci pour ce petit rappel d'enfance digne du "portrait de l'Enfant" de Louis Calaferte. (Jérôme Clerc).

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